Cette guerre a été la plus horrible de tous les conflits depuis la Guerre Civile Américaine et a demandé plus de soldats que dans les autres guerres. Les femmes ont été les principales demandées pour participer activement aux travaux vitaux derrière les lignes pour constituer la main d’œuvre insuffisante sans la force nationale de la main d’œuvre.
Leur service a hâté la fin de la guerre en ajoutant une nouvelle force dans le militaire et dans l’industrie, indispensable à l’effort de guerre. En même temps, la participation des femmes Américaines dans la Seconde Guerre Mondiale a été un effort difficile dans l’exploitation pour tout impliqué et il y avait des obstacles sociaux considérables qui ont été prévenues par le progrès des femmes.
Les forces armées avaient des inquiétudes spéciales à l’inclusion de l’assistance féminine. Pourtant, la nécessité militaire s’est avérée critique à leur utilisation sur une grande échelle. Donc l’Armée, la Navy, la Marine et les Gardes Côtes ont autorisés toutes les unités spéciales féminines durant 1943, en dépit des craintes des hauts échelons.
De plus, les organisations civiles comme la Croix-Rouge ou le Service de Santé Publique ont demandé à avoir plus de personnel féminin pour soutenir leur travail pendant le temps de guerre, bien que ce soit des rôles plus traditionnels et donc « sans danger » sans le contexte de société
De grandes campagnes de recrutement ont essayé de persuader les femmes de rejoindre un service, un groupe ou un club. De nombreuses campagnes de postes, de brochures, de publicités et même des films ont aidé à essayer à recruter autant de femmes que possibles dans une large gamme d’emplois. Les groupes prévus étaient composés de femmes jeunes et adroites instruites entre 20 et 50 ans.
En même temps, il y avait une pression sociale considérable envers les femmes participant complètement aux efforts de guerre où se sont affronté les valeurs civiles et les conceptions morales de ce temps.
Par exemple, pendant la Seconde Guerre Mondiale, les militaires américains niaient généralement la capacité de superviser ou d’être directement commandé par des femmes.
Pendant que les femmes pouvaient être nommées comme officiers ou non officier, leurs pouvoirs de supervision étaient d’habitude limités à la capacité de superviser ou de contrôler d’autres femmes dans la performance du devoir militaire.
Les femmes tenaient très rarement des positions leur permettant de déterminer l’avancement de la carrière des hommes, le taux de performance des hommes ou de vraiment contrôler et de donner des ordres aux hommes dans les emplois de guerre.
Quelques emplois féminins ont représenté des inventions révolutionnaires spectaculaires pour les femmes dans des emplois plutôt masculins. Malheureusement, dans l’ère dominée d’hommes de ce temps, l’abondance d’attributions féminines s’est avérées assommante et de routine et même surabondant et surchargé de grosses besognes. Beaucoup étaient extrêmement dangereux, comme le travail aux usines de poudre versatiles. D’autres femmes ont été placées sur des tâches d’une importance avancée, sur le premier rang d’innovation scientifique et sur le champ de bataille et rivalisaient souvent au monde d’habitude réservé aux hommes. Malgré tout, chaque emploi a été considéré comme indispensable parce qu’il a contribué de sa propre façon à la victoire finale.
Ces femmes qui ont suivi l’appel du devoir devaient être facilement identifiées en portant fièrement un uniforme distinctif
